a. Séquelles de péricardite aiguë :
– séquelles fonctionnelles (algies, dyspnées, sans signe électrocardiographique, radiologique ou échographique, sans signe biologique d'inflammation) : 0 à 10 %;
– forme récidivante, authentifiée par des examens cliniques et électrocardiographiques, avec ou sans manifestation biologique ou échographique, selon la durée, le retentissement et la thérapeutique : 10 à 40 % ;
b. Atteintes péricardiques chroniques ou séquelles d'hémopéricarde, avec ou sans calcification péricardique :
– sans signe objectif de constriction, selon le retentissement fonctionnel : 10 à 30 % ;
– avec des signes de constriction péricardique : à apprécier suivant le degré de l'insuffisance cardiaque (voir A. – Cœur, insuffisance cardiaque) ;
c. Péricardite tuberculeuse :
– en évolution : 100 % ;
– ensuite, évaluer les séquelles selon les modalités précédentes ;
d. Chirurgie péricardique (voir D. – Séquelles de thérapeutiques chirurgicales).